Maladie qui commence à être connue, la myopathie atypique touche surtout les chevaux vivant principalement au pré.
Concrètement, qu'est ce qu c'est que la myopathie atypique ?
C'est une maladie dégénérative qui atteint le système musculaire et neurologique du cheval. Les signes clinique sont nombreux et malheureusement lorsqu'ils apparaissent, il est souvent trop tard. Parmi les signes les plus courants, on a : urine foncée (noire), abattement, muqueuses rouges, coliques, sudation excessive, cheval souvent couché.
Lorsque les symptômes sont installés, il est souvent trop tard ! Mais alors, comment prévenir la myopathie atypique ?
Mesures de prévention
Source : Wikipédia
il est reconnaissable par plusieurs choses, je vais vous citer une partie de l'article de wikipédia au sujet de cet arbre :
L'érable sycomore est un grand arbre à tige élancée, pouvant atteindre 35 m à 40 m de haut et un diamètre de 3,5 m (à 1,5 m de hauteur au-dessus du sol). Sa durée de vie peut atteindre les 500 ans.
L’écorce est d’abord lisse et gris jaunâtre, puis gris rougeâtre et de plus en plus foncée sur les arbres âgés où elle se détache en s’écaillant en larges plaques, ce qui différencie cette espèce de l'espèce proche Acer platanoides (érable plane).
Les feuilles, opposées (comme chez tous les érables), caduques, sont palmées avec cinq lobes pointus, à dents obtuses, séparées par des sinus aigus. Ces feuilles, à long pétiole (légèrement cordiforme à la base), sont glabres et vert sombre à la face supérieure, vert glauque portant des poils sur les nervures à la face inférieure.
Il ne fleurit que vers 20 à 25 ans. Les fleurs de couleur vert jaune, groupées en panicules tombantes, à la différence de celles de l'érable plane, qui sont groupées en corymbes dressés apparaissent avec les feuilles, à la différence de celles de l'érable plane où elles apparaissent avant les feuilles. Elles ont cinq sépales soudés, cinq pétales et huit étamines dressées.
Les fruits sont des disamares dont les ailes sont écartées, formant un angle beaucoup moins ouvert que celles des disamares de l'érable plane.
Autécologie et écologie
C'est une essence de lumière, préférant des sols riches et plutôt calcaires. On le rencontre en général en peuplements disséminés au milieu des autres espèces ; c’est notamment un compagnon du hêtre et du sapin.
On le trouve jusqu'à 1 600 m d'altitude (notamment dans les hêtraies sapinières matures des Pyrénées). C'est une essence parfois abondante (en taillis sous futaie notamment), mais toujours disséminée, mélangée avec d'autres espèces (hêtre et sapin le plus souvent). Dans de bonnes conditions, il fait preuve d'une bonne régénération naturelle à partir des graines qui se disséminent relativement bien, et à partir des rejets de souches.
Quelles solutions ?
Il existe une seule solution aujourd'hui pour prévenir la maladie (et l'écolo qui est en moi a un peu de mal à l'accepter, mais bon...), il faut couper ces arbres. Le mieux c'est de les dessoucher, sinon, un autre technique est de faire des trous dans la souche restante et y mettre des gousses d'ail. En effet, cela permet de détruire l'arbre en profondeur et éviter la repousse. Pour être sûr de bien reconnaître ces arbres-là, je vous invite à regarder cette page.Il existe des réseaux de surveillance, je vous invité à aller sur la page des Haras Nationaux pour en savoir plus.
Faites tourner cet article, pour le bien de nos loulous !